Rien de surprenant que les hommages posthumes se poursuivent une semaine après le décès d’Harold Brownstein.
Personne très impliquée dans la société, il a été hautement respecté et apprécié à tous les niveaux qu’il a présidé.
Lorsque l’homme d’affaires s’est mis à gravir les échelons pour aboutir à la barre de l’Association de golf du Québec en 1980-81, il a commencé à polir son français avec Chris Gribbin, le directeur général de l’époque qui s’adonnait être aussi professeur à l’Université de Montréal.
Il amorçait ses conversations en français en réunions officielles de même que lors des entretiens amicaux au 19e.
C’est sous son règne que les francophones à l’AGQ ont pu prendre plus de place qu’il leur laissait occuper avec une complète approbation.
Après la province, il a été président de l’Association Royale de golf du Canada.
Il était officiel certifié et été actif lors de plusieurs Omniums canadiens à la LPGA, mais également lors des tournois plus discrets.
Il avait débuté à la présidence du club Em Ridge.
Harold Brownstein avait le vénérable âge de 98 ans.