Pour une deuxième journée consécutive, les meilleurs golfeurs de la planète ont profité de conditions idéales et ils se sont pas gênés pour attaquer les fanions du club Augusta National.
À cause du retard causé la veille, un certain nombre de joueurs n’ont pu compléter la deuxième ronde, mais une chose est certaine: il y a congestion au sommet et la lutte sera féroce en fin de semaine.
JUSTIN THOMAS partage le premier rang avec Abraham Ancer, Cameron Smith et Dustin Johnson. Ils sont tous à «moins 9». Cependant l’écart est de seulement 4 coups entre les 19 premiers au classement. Dans le groupe des poursuivants, il y a JON RAHM, Justin Rose et Tommy Fleetwood.
COREY CONNERS est le meilleur Canadien à «moins 3», mais il n’a pas encore complété son deuxième parcours. NICK TAYLOR joue la normale tandis que MIKE WEIR et ADAM HADWIN sont menacés de rater la coupure.
AU 19e TROU
- BRYSON DeCHAMBEAU a joué de malchance quand il a perdu sa balle sur son coup de départ au 3e trou. Il a dû retourner en-arrière et il a fini par commettre un TRIPLE-BOGEY qui lui a fait très mal.
- DUSTIN JOHNSON joue mieux que jamais et il aime ses chances de l’emporter. Le COLOSSE DE COLUMBIA affiche une belle patience et beaucoup de talent autour des verts.
- ANDY OGLETREE, champion amateur des États-Unis, a réalisé un rêve en jouant les deux premières rondes avec son idole d’enfance TIGER WOODS.
- Grâce à un DRÔNE qui se promène un peu partout, on peut voir des IMAGES INÉDITES du club Augusta National.
- RORY McILROY a beaucoup mieux joué (66), mais son 75 de la veille pourrait le hanter d’ici la fin du tournoi.
- Aucun joueur n’a réussi à devancer le peloton de tête pour se sauver avec la victoire depuis que JACK NICKLAUS a réussi l’exploit en 1986.
- SANDY LYLE, champion en 1988, a fait jaser avec ses BRETELLES aux couleurs du Masters.
- Il fallait que BOBBY JONES et l’architecte ALISTER MacKENZIE soient des génies du golf pour bâtir un tel parcours au début des années 1930.
- BROOKS KOEPKA n’a pas raté la coupure à ses 23 derniers tournois majeurs.
- À plus tard.